Il y a quelques années je suis parti en volontariat à Madagascar comme vétérinaire dans une ferme-école en brousse.
Deux années à accompagner le quotidien des paysans malgaches, à faire évoluer les techniques agricoles, à les appuyer dans le lancement de petits élevages, véritables vecteurs de lutte contre la pauvreté. Deux années à partager leurs joies, leurs peines, leurs vies… Deux années qui m’ont tant appris et que je n’oublierai jamais.
Aujourd’hui j’en ai écrit un livre : Au cœur de l’île rouge – carnet de bord d’un jeune vétérinaire.
À travers mon métier de vétérinaire, je souhaite immerger le lecteur au cœur de la société malgache en croquant celle-ci d’un regard tendre, avec un geste d’humour, mais aussi avec réalisme. Cette expérience de deux ans au Sud sur le terrain de l’agriculture paysanne me mène à une analyse critique du système dans lequel le Nord fonctionne. Toutes ses aventures au cœur de l’île rouge ont transformé ma vision du monde et sont à la base de mon engagement politique qui est d’agir pour une société plus durable, respectueuse de l’Homme, de la terre et des animaux.
les bénéfices seront reversés à l’ONG Vétérinaires Sans Frontières Belgique et à l’ASBL de La Ferme d’Anjou pour leurs actions positives en faveur d’une agriculture plus durable à travers le monde.
Pour commander le livre ou assister à une de mes présentations littéraires : https://urlz.fr/oMya
« Engagé, touchant, intéressant mais aussi drôle par moment, et surtout une belle immersion dans la vie malgache… à lire » Léopold d’Ixelles.
« Ça y est. J’ai fini ton livre. Franchement très chouette à lire, structure hyper bien pensée, bravo à toi !! » Bénédicte de Louvain-La-Neuve.
« Merci pour ton livre que j’ai dévoré, il m’a fait rire et voyager, mais aussi remis en place… De loin mon plus beau cadeau de Noël. » Olivier de Wezembeek-Oppem
« Aussitôt reçu, aussitôt lu, ce carnet de bord où j’ai bien retrouvé, et avec plaisir, ce pays si attachant tant de fois parcouru en passant notamment par divers endroits que tu y évoques. Immersion, à commencer celle de la langue, proximité avec les gens, humilité et multiples interrogations aussi, voilà effectivement le voyage tel que je le conçois aussi. » Jean-Pierre de Woluwe-Saint-Pierre.
